I WANT TO BE A PART OF IT

Bonjour à toutes et tous, curieux de passage ou fidèles de la première heure.

Sentez vous libres de poster des commentaires en bas de chaque article, simple témoignage, critique, conseil.

En prime une petite sélection musicale pour accompagner la lecture, à écouter en mode aléatoire c'est plus sympa :


lundi 29 octobre 2012

Weekend dans les Catskill

On est pas loin de l'échec mission.
Considérant que l'objectif numéro un de ce weekend dans les montagnes des Catskill était d'admirer les couleurs automnales et le deuxième de profiter du chalet douillet que nous avions loué pour l'occasion, le bilan est mitigé.



Partis vendredi matin de New York, avec encore quelques difficultés à sortir de Manhattan, dues à un GPS qui anticipe oui, mais parfois un peu trop, nous avons remonté l'Etat de New York pendant environ deux heures. Laissant derrière nous un feuillage encore en majorité vert dans Central park, les teintes rouges, jaunes, oranges font leur apparition au fur et à mesure que nous remontons le long de la vallée de l'Hudson. Tout ceci est de bonne augure. Hélas, plus nous avançons plus les feuilles sont au sol, 90% des arbres tout nus. Hormis quelques sympathiques boulots aux feuilles jaunes et les inébranlables pins, le paysage a quelque chose d'hivernal, mais sans la neige. 
La magnifique vue que devait nous offrir la terrasse du chalet s'avère donc un peu triste et morne. 

Qu'à cela ne tienne, cela ne va pas nous empêcher de visiter le coin et de nous ressourcer, au coin du feu, ou dans le jacuzzi situé sur la terrasse.  



Des rivières, des vallées, des monts, des champs, des villages, des forets, des lacs...voilà ce dont sont constitués les Catskill. Les maisons en bois dissimulées par ci par là sont pour la plupart magnifiques. Pour la plupart car, il en est certaines lugubres, de travers, donnant un sentiment de malaise au premier regard, au deuxième aussi d'ailleurs. On s'attend à voir sortir d'un moment à l'autre les protagonistes du film de Boorman "Délivrance". Angoissant. 

Heureusement pour nous, notre chalet est douillet, bien meublé, bien entretenu, un peu grand pour deux il est vrai, mais bon, ce n'est qu'un détail. 
Autant dire que l'on profite du jacuzzi de la terrasse ! ces petites bulles qui vous chatouillent le corps, dans une eau à 35° en plein milieu des bois, le luxe !
Malheureusement, malgré plusieurs tentatives, le feu de cheminée ne prend pas...on a encore des progrès à faire en la matière !


Samedi, pas super motivés par une randonnée pédestre, nous prenons le parti de prendre la voiture et de tracer la route, sillonnant les champs, les points de vue, les bosquets, quelques lacs poissonneux, des rivières aussi larges qu'un fleuve. Les Etats-Unis sont vraiment conçus pour le tourisme routier, les voitures sont confortables, et les routes tout autant. Les routes de comté, équivalent à nos départementales, sont aussi larges que nos nationales.


Jeep Compass, notre carrosse pour le weekend
     

Un régal pour la conduite, sans compter qu'il n'y a pas grand monde sur les routes. Nos flâneries nous entraînent de village en village : Roxbury, Margaretville, et Delhi, ou nous nous payons une pizza aussi grande que la roue de la Jeep ! Halloween approchant à grand pas, chaque rue, chaque maison a revêtu son déguisement, les citrouilles foisonnent.


Demain, nous avons prévu de ne pas partir trop tard, le temps de passer à Woodstock, d'éviter les embouteillages retour et d'éviter les prémices de la tempête Sandy !

Bien que devant être beaucoup plus accueillant et actif an printemps ou en été, le village de Woodstock n'en reste pas moins agréable en automne ! 
Produits bio, tee-shirts psychédéliques, magasins de vinyls, de pipes à fumer, drapeaux "peace and love" aux balcons, habitants nostalgiques aux cheveux longs, à la barbe et aux vêtements en laine cousus mains qui doivent gratter à même la peau...Bienvenue dans le fief des hippies, bienvenue dans l'histoire du rock, Woodstock 1969 !



Alors forcément on en écoute un peu dans la voiture, le CD3 de l'intégral : Canned heat, Moutain, Grateful Dead et Creedence clearwater revival ! Ambiance pakalolo dans le SUV !




Quelques vinyles en poche (Vanilla Fudge et Iron Butterfly), un combi Volskwagen psychédélique miniature comme trophée de notre passage et nous reprenons la route, direction...Manhattan, sous les annonces de fin du monde que provoque l'arrivée de la tempête Sandy.

Au final, même si le feuillage automnal nous a fait faux bon, le weekend s'est avéré très agréable, avec en prime la visite d'un lieu mythique qui mérite qu'on s'y attarde un peu plus que nous ne l'avons fait, histoire de bien s'imprégner de l'ambiance "peace and love" du coin.

Et bonne nouvelle pour finir le weekend, pas de boulot demain, par mesure de sécurité, tout ou presque sera fermé dans New York.

mardi 23 octobre 2012

Etat de New York





Dans l'imaginaire collectif, quand on parle de New York on évoque forcément la grosse pomme. Quelques uns oublient que cette mégalopole (10 millions d'habitants) est en fait située dans l’État du même nom, un des cinquante qui composent les États-Unis d'Amérique.
Et New York n'est même pas la capitale de l’État de New York, qui est Albany. Les plus grandes villes américaines sont d'ailleurs rarement les capitales de leur État.

Contrairement au Sud-Est de l’État, très urbanisé autour de la ville de New York, l'Ouest et le Nord sont plus ruraux. On y trouve de grandes régions agricoles, des montagnes et des forets (Catskills, Adirondacks...), des lacs (Finger lakes, lac Placid (sans le crocodile)) et des curiosités connues du monde entier notamment les Chutes du Niagara et Woodstock

Alors forcément, quitter New York pour nous rendre dans les Catskills de vendredi à dimanche prochains, ce n'est pas changer d’État, mais bien de paysages ! Les propriétaires du chalet que nous avons loué sont formels : ne laissez pas trainer de nourriture en dehors du chalet, cela risquerait d'attirer les porcs-épics, les ratons-laveurs et les ours noirs. C'est une autre faune que les rats et cafards de Manhattan, à n'en pas douter !

Le but de ce weekend de trois jours est bien de respirer un peu d'air pur, de contempler le feuillage automnal en sirotant un café bouillant sur la terrasse d'un chalet en bois avec cheminée en pierre et jacuzzi sur la terrasse. Oui, on sait...une escapade qui a un coût mais on a pas tous les jours 34 ans.

Emblèmes

  • Surnom : "The Empire State" (l'Etat Empire)
  • La devise : "Excelsior" (Supérieur) rien que ça...
  • L'arbre : L'érable à sucre
  • L'oiseau : L'oiseau bleu

Culture

  • Les Natives : Les Iroquois, dite tribu des 5 Nations car composées des Mohawk, Oneida, Onondaga, Cayuga et Seneca


  • Une œuvre littéraire : En matière d'art dans l’État de New York, tout ou presque est lié à la ville de New York. Alors comme on ne peut tout citer (Paul Auster, Bret Easton Ellis, F.S Fitzgerald...), on va se contenter de parler d'un roman que l'on a lu et qui nous a marqué : "l'Attrape-coeurs" de J.D Salinger. Une œuvre magistrale et bouleversante qu’Élodie et moi recommandons vivement. Ce roman, classique de la littérature américaine, est étudié dans les écoles américaines et canadiennes, et à juste titre.
  • Une musique : Comme pour les œuvres littéraires, la majorité des chansons sont liées à la ville de New York et non à l'Etat lui-même. Alors vu qu'on aborde là l'Etat, et bien la référence est toute trouvée : Woodstock, édition 1969 ! pèlerinage prévu ce weekend, promis on essaiera de garder nos vêtements.


  • Un film : Alors là le choix est plus que pléthorique. Mafia, comédies, actions, horreur...tous les genres sont représentés. Alors allons-y : "Gangs of New York" de Scorsese, les "Die Hard", "l'Interprète" tourné en partie au siège de l'ONU, "King Kong" version ascension de l'Empire State Building. Et pour nous rajeunir : la série "Mike Hammer" joué par Stacy Keach. Sélection oh combien mince au vu des films et séries tournés dans la grosse pomme. Et pour s'évader de la frénésie new-yorkaise, citons le film "Buffalo 66" de Vincent Gallo. Tourné comme son nom l'indique à Buffalo, dans l'Etat de New York...



  • Un art : Même si ce n'est pas notre tasse de thé, on ne peut pas ne pas citer le Pop Art et sa figure de proue Andy Warhol.

mercredi 17 octobre 2012

Bilan trimestriel

Cela fait trois mois maintenant que nous nous sommes installés à New York.
L'adaptation a été rapide. Cette ville est tellement médiatisée qu'on a l'impression de l'avoir toujours connu, elle fait presque partie du quotidien.
C'est une mégalopole pleine de paradoxes, de contradictions. Une machine qui avance tel un rouleau compresseur, en force. L'énergie de sa ressource humaine agit comme un ciment. Du coup, un tas de choses scabreuses tiennent et fonctionnent, là ou d'autres villes auraient déjà sombré. 

Le mélange du neuf et de l'ancien, de la richesse et de la pauvreté, de la nature et de la pollution...
Une ville ou il est si facile de prendre un taxi, alors qu'il est si laborieux de prendre le métro. L'exact contraire de Paris.
Une ville ou les églises du 17ème siècle côtoient les buildings modernes, dans un mélange improbable.
Une ville qui fait preuve d'une modernité incroyable dans ses constructions alors que les routes sont délabrées et que les poubelles s'accumulent sur les trottoirs. 
Une ville ou marchant d'un bloc à un autre, on passe de l'asphyxie aux verts pâturages de Central Park.
Une ville qui klaxonne, qui pimpon, qui excite les sens, qui énerve, qui fascine. En perpétuel mouvement, cosmopolite, folle, unique.


En comparaison, Boston et Washington que nous avons visité depuis notre arrivée font office de villes calmes, sobres, reposantes, ou il doit faire bon élever des enfants.

Toutes ces villes, formant la mégalopole Boswash (surface s'étirant entre Boston et Washington) http://fr.wikipedia.org/wiki/BosWash n'autorisent que très peu la sensation d'évasion. Tout ou presque est habité, laissant peu de place à la Nature avec un "N", la sauvage, celle de l'Ouest en somme.

Cela nous inflige un léger sentiment de frustration, mais le salut viendra peut-être de nos futures activités, en cours de planification : weekend dans un chalet des Catskills pour admirer le feuillage automnale, et migration vers le Sud, en Floride et/ou aux Bahamas pour fuir l'hiver rigoureux...

mercredi 10 octobre 2012

7 octobre : Washington D.C

Une fois n'est pas coutume, on est en weekend, mais le réveil est tout de même matinal ! Notre car retour part à 16h00, il ne faut donc pas traîner si l'on veut visiter un ou plusieurs musées.

Et nous ne sommes pas les seuls à avoir cette idée ! Le temps pourri ajouté au fait que le lendemain lundi est férié aux USA (Columbus Day) ont poussé tous les touristes à se tourner vers les musées. En plus ils sont gratuits, alors pourquoi se priver ? 

Notre premier choix se porte sur le Musée de l'Air et de l'Espace. Intéressant. Bien que lire les panneaux d'informations dans une langue qui n'est pas pas la sienne, ce n'est pas toujours évident, et vite épuisant. Ceci étant, vieux avions, combinaisons de cosmonautes, satellites...en mettent plein la vue. Mention spéciale à la partie du musée retraçant les exploits des pilotes afro-américains, notamment Bessie Coleman.


Cette jeune femme née en 1892 rêve de devenir pilote. La ségrégation aux USA est telle qu'aucune institution ne lui donne la possibilité d'apprendre à voler. Qu'à cela ne tienne ! La passion pousse cette incroyable femme à apprendre le français et à s'y exiler momentanément pour passer son brevet de pilote. Et ça marche. Bessie quitte l'hexagone pour les USA diplôme en poche avant de démontrer toutes ses compétences lors de shows aériens. Malheureusement, et comme souvent, sa passion la conduira au bout de ses limites, qu'elle franchira le 30 avril 1926, lors d'un crash aérien. Elle avait 34 ans. Mais quelle abnégation !

Autant l'entrée au musée est gratuite, autant les parties les plus ludiques du musée sont payantes (Imax en 3D, simulateurs de vols) et prises d'assaut par la horde de touristes ayant rendu les armes du savoir, préférant se divertir qu'apprendre. Mais comment les blâmer ?

Nous avons encore un peu de temps devant nous, direction le Musée d'Histoire Naturelle, ayant inspiré le film "une nuit au musée" avec Ben Stiller. Sauf qu'en guise d'accueil ce n'est pas l'ossature d'un T-REX mais une statue d'éléphant à l'échelle. Tout aussi impressionnant mais moins rare. Rassurez-vous, le Tyrannosaure se trouve quelques pavillons plus loin, dans l'aile dévolue à la préhistoire.


Ce musée est magnifique, intéressant, ludique, à tel point que l'heure et demie qu'il nous restait avant d'attraper notre car ne nous a pas suffit à en faire le tour. Bonne excuse pour revenir !

Il est temps de retourner vers Union Station, d'avaler quelques Tacos du "Taco Bell" pour le plus grand plaisir de Jérôme et de remonter dans le car. Arrivée prévue à 20h00 à New York. Objectif atteint. 

Demain soir, Jérôme et Annabelle achèvent leur séjour d'une semaine bien remplie, les valises un peu plus lourdes qu'à l'arrivée.

mardi 9 octobre 2012

6 octobre : Washington D.C

Le premier essai s'étant avéré concluant, nous avons refait confiance aux cars Greyhound/Peter Pan pour nous rendre dans la capitale fédérale américaine.

Notre joli car vert Peter Pan quitte Port Authority à 8h30 pour un trajet de 4 heures au cours du quel le passage à proximité de l'aéroport de Newark, de la ville de Baltimore et le franchissement de la rivière Delaware sont les attractions les plus marquantes.



Ce qui frappe le plus à Washington, si tant est que l'on y accède par bus ou train, c'est le gigantisme de la gare Union Station. Des boutiques, des restaurants réunissant toutes les saveurs du monde, un va et vient incessant, une décoration soignée...le ton est donné !

Notre dimanche étant prévu pluvieux, c'est aujourd'hui samedi que nous allons arpenter le quartier du Mall, s'étirant du Capitol...



à la statue de Lincoln.



Le parcours est impressionnant, aussi bien par l'architecture des bâtiments, leur symbolique (statue du général Grant), la propreté des lieux et la sensation d'espace et d'air qui se dégage de ces boulevards immenses. Nous sommes aux antipodes de New York !

Les jambes commencent à se faire lourdes mais nous décidons tout de même de prolonger notre parcours, en franchissant le Potomac direction le cimetière d'Arlington. Et quel bon choix !
Pour une somme modique, le visitor center  propose une ballade en petit train à travers le cimetière. Et ce n'est pas de refus ! Le lieu, très solennel, invite au calme et au silence. Et immanquablement, l'Amazing Grace vient trotter dans la tête !



Le courage nous manque pour retourner à pied au centre ville, aussi nous en profitons pour tester le métro local. Une fois de plus, rien à voir avec New York, les stations sont grandes et aérées, les wagons modernes, fournis en places assises et recouvert de moquette ! La classe quoi !

Nous nous arrêtons à quelques encablures de la Maison blanche, le temps d'en prendre quelques clichés, puis direction notre hôtel, en bordure du Chinatown local, d'une propreté et d'une netteté à l'opposé de celui de New York ou de Boston. On va enfin pouvoir se reposer...

vendredi 5 octobre 2012

Washington D.C

Washington, Washington...c'est pas un nom de ville ça ?
Si, absolument. C'est aussi le nom d'un Etat américain, à l'exact opposé de la ville cité supra, le nom du premier Président américain (Georges Washington), le nom du plus haut sommet du Nord Est des Etats-Unis (1916 mètres), le nom d'un acteur (Denzel Washington) etc etc.

Mais aujourd'hui, c'est à la ville que l'on s'intéresse, non seulement car nous avons prévu de la visiter ce weekend, que le mont Washington en automne, c'est pas forcément une bonne idée, que l'Etat du Nord-Ouest partant de New York c'est loin, et que Denzel ne pouvait pas nous recevoir car il refait la déco de sa villa après qu'on lui ai dit qu'on trouvait l'actuelle pas terrible !

Bref. Washington D.C (district de Columbia) est la capitale fédérale américaine, petite enclave entre l'Etat de Virginie et l'Etat du Maryland, d'une superficie de 177 km2.

Abritant la Maison Blanche, le Capitole, la Cour suprême, la réserve fédérale des Etats-Unis...la ville regorge de musées plus intéressants les uns que les autres et qui ont en plus le bon goût d'être gratuits !

Emblèmes :

  • Surnom : Federal City
  • La Devise : "Justitia omnibus" (justice pour tous)
  • L'arbre : Le chêne écarlate
  • L'oiseau : Aucune information trouvée à ce sujet. Mais le pygargue à tête blanche, symbole des Etats-Unis paraît le symbole approprié.

Culture :

  • Les Natives : Les Piscataways. http://www.dcpages.com/History/Piscataway.shtml. Bon le site est en anglais, mais les explications courtes et pas trop compliquées sont instructives, pour qui s'intéresse au sujet.
  • Une œuvre littéraire : Forrest Gump de Winston Groom, né à Washington D.C et ayant travaillé quelques temps pour le Washington Post, entre des exils en Alabama et à Long Island.
  • Une musique : Chuck Brown, fondateur du go-go, un sous-genre de la musique Funk né dans les années 70.
  • Un film : "L'exorciste" de William Friedkin (adapté en 1973 du roman de William Peter Blatty). Ce film d'horreur, maintes fois récompensé et considéré comme un classique du genre, presque pionnier en matière d'"enfant possédé" se déroule en banlieue de Washington, à Georgetown exactement. Le film est notamment connu pour une scène d'exorcisme intense et effroyable.

  • Un art : Georges Washington. Homonyme du 1er président américain, ce peintre orientaliste français est né à Marseille. Il n'a jamais peint l'Amérique, malgré un bref passage à New York, préférant peindre l'Algérie et le Maroc. Rien de bien yankee donc dans tout ceci, mais l'homonymie est subtile. Et cette "chasse à l'antilope" s'apparente, trouvons nous, à une chasse aux bisons dans les plaines du Dakota.

lundi 1 octobre 2012

30 septembre : Oh l'arnaque !!!

Nous l'attendions avec impatience, et finalement quelle déception !

Les guides étaient clairs, dimanche 30 septembre sur Lexington Avenue, entre la 42ème et la 57ème, grande foire de l'Oktoberfest ! Bon logiquement, après une telle annonce, on est en droit d'attendre un petit bout d'Allemagne au cœur de Manhattan, comme on avait déjà pu l'apprécier il y a quelques jours lors de la Steuben Parade.

Et bien wallou !!! Rien du tout !!! Même pas un stand de bière pour rappeler la Bavière, même pas de Würtz à se mettre dans la frimousse...d'ailleurs même pas de stand germanophone !! Ah par contre, tee-shirts à leds fluos, coques d'Iphones, bijoux fantaisie, gyros, smoothies, pizzas, en veux tu ? en voilà !!! 
Cette foire était aussi allemande qu'un fest-noz sans bagad !

Bref, grande supercherie, donc grande déception ! 

Heureusement, la fin de journée nous a remis du baume au cœur, avec l'arrivée du frère d'Elodie et de sa compagne. Ils ne sont pas allemands, mais c'est super de les avoir pour la semaine !
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